A Side : Jarvis Glasses 1. Tonight In The Sex Shop 2. Draw Me
B Side : Le Aids 1. Family Song 2. No Tear
Z Side : Jarvis Glasses & Le Aids sing Daniel Johnston 1. Rock 'n' Roll/EGA
" L'idée était venue quelque part en 2008. Pour lui faire prendre vie, il a fallu deux années, des brouillons de morceaux jetés à la poubelle, des concepts fumeux, de la flemme et du travail. Et finalement ce résultat, le split single que nous voulions faire de tout notre coeur, avec deux morceaux chacun, faits de ce rock and roll qui a sauvé nos âmes autant que celle de Daniel Johnston. "
"Indiosingracia est apparu grâce à du temps libre et des cassettes audio oubliées, prenant ses racines entre l'Andalousie et Aragon. Juanto joue de la guitare espagnole (la "Juanita") et rend hommage à ses idoles éternelles : son grand-père Ernest et sa mère Maripaz."
Petit voyage lo-fi et délicat de folk miniature, le deuxième album d'Indiosingracia est un véritable bijou qui vous surprend par sa douceur ensoleillée. Compositions riches et éblouissantes sous leurs traits timides, arrangements minimaux qui illuminent la musique, douce mélancolie qu'appuie un jeu de guitare à la Nick Drake : 20 minutes de musique sincère, légère et magnifique. Label (What Was It Anyway?) est très fier de compter Indiosingracia et sa fantastique musique, première signature hors-france, dans ses rangs, surtout avec un tel album.
(if you want a copy of the record, please, go there : http://www.myspace.com/indiosingracia )
the transfiguration of lawrence of arabia, by dave chilton.
by dave chilton, the transfiguration of lawrence of arabia.
"Disons qu'au départ, j'avais l'absolu d'un bouddhiste réincarné en serpent: recréer un peu de desert dans ma musique, à savoir: la violence des eléments (la chaleur, la lumière, le sable, le vide...) dans un esprit quasi uniquement noise (une noise assez synthetique), la guitare là uniquement comme "présence humaine". Je suis pas trop déçu du résultat, dans le fond. Lawrence d'Arabie n'est un peu qu'un pretexte. EN FAIT non, je SUIS Lawrence d'Arabie!" - Dave Chilton.
Il commençait à me sembler que l'univers, avec sa voûte étoilée de globes impassibles et agaçants, n'était peut-être pas ce que j'avais rêvé de plus grandiose. Un jour, donc, fatigué de talonner du pied le sentier abrupte du voyage terrestre, et de m'en aller, en chancelant comme un homme ivre, à travers les catacombes obscures de la vie, je soulevai avec lenteur mes yeux spleenétiques, cernés d'un grand cercle bleuâtre, vers la concavité du firmament, et j'osai pénétrer, moi, si jeune, les mystères du ciel!
10/Sunday At The Barton Springs Pool In Austin, TX
11/Endless Farewell
12/Jim & Mary Cheers
Disciple de John Fahey et progéniture cachée de la pop de Jim O'Rourke, SunJ offre des compositions lumineuses et hétéroclites qui viennent s'inscrire dans un spectre musical aussi varié que réjouissant : de la free-folk d'une Amerique mythologique à la bossa-nova des Caraïbes, tout en passant par un psychédélisme pop anglo-saxon, il se dessine une musique brillante, survoltée et attachante, sans jamais perdre de vue deux mots clés : le groove et le cool.
(Bash Hurricane! a été enregistré et mixé par et chez Le Aids entre le 27 janvier et le 5 Juin 2009, à Gagny, sur Garage Band.Tout les morceaux ont été composés par SunJ et arrangés par Le Aids, excepté "Be Careful!" et "Bash Hurricane!", composés par SunJ et le Le Aids.)
REVIEWS :
"Voyage lumineux et enivrant, Bash Hurricane est un album à la fois foutraque et totalement homogène, dont le spectre musical réunit, au sein de 11 morceaux colorés, la free-folk de feu John Fahey, la pop méticuleuse d'un Jim O'Rourke, et une certaine vision de la musique rock, à la fois classique et contemporaine, mais toujours immanquablement cool. En cela, le premier album de SunJ, que j'ai eu la chance de produire, arranger, et d'interpréter à moitié, est la bande-son parfaite d'un été paresseux. Ou d'un hiver enneigé. Ou d'une vie entière."
- Le Aids.
"Le résultat de toute cette fameuse collaboration bluffante pour sa cohérence d'abord. Plusieurs styles sont touchés mais toujours avec une légèreté et un humour très agréables. On ne sait plus vraiment qui joue quoi, qui chante quand et ça me paraît être une grande qualité pour un travail collectif de ce genre."
- Duck Feeling
"C'est un excellent (premier et tout court) album. L'approche classique est furieusement balancée par ce p'tit génie foufou qui déconstruit tout ce qui semble 'être attendu'. Bash Hurricane! - la chanson - est un chef d'oeuvre dans ce genre."
- Baby Genius
"SunJ ne donne pas dans la didactique bananière, il est plutôt maître dans l'Art de la projection anti-casanière, et fait de son pseudonyme une raison d'écrire et de son premier album un fantasme côtier de l'enfant en artiste... On s'attend à tout et l'on entend le plus inattendu dans ce qui aurait pu n'être qu'un ennuyeux essai folk de plus et qui se révèle extrêmement accrocheur lorsqu'il récite les leçons les plus humaines et doucereuses du Velvet Underground, traite l'easy-listening autrement qu'en vieux ringard dégarni, pratique l'escalade rythmique et le moteur à explosion Blurriens ou revigore la balade pop instrumentale"
baby genius, white light, baby genius, white light, baby genius, white light, baby genius, white light, baby genius, white light, 30 janvier 2009, baby genius, white light, baby genius, 30 janvier 2009, white light, baby genius, white light, plus d'un an après "The Man Who Wanted To Do Pop Music" et son harshpop a capella, c'est un e.p. silencieux et funèbre que nous propose Baby Genius, fait de courts vignettes où des voix chuchotés se mêlent autour de lignes de basse dont kim deal serait fière, quelques notes, quelques paroles, quelques secondes, et ce sont des petites miniatures foutraques et géniales qui se construisent, entre mini-pop fatiguée et ambiances sombres, un album de notre époque, baby genius, white light, 1/We, Dead, 2/Août, 3/In Heaven; 4/L'Amateurisme Retrouvé, 5/Hair, Deerhoof, Flowers, 6/Les Héritiers, 7/Menthohol, 8/Yes, We Can, en faisant des petites compositions minimalistes avec chuchotements et basse ténébreuse, la musique de Baby Genius est surprenante mais jamais sectaire, foutraque mais toujours plus cool que tout, "Autrement dit, l'étudiant n'a pas et ne saurait avoir d'autre tâche que de travailler à sa propre disparition en tant qu'étudiant. Ce qui supposerait qu'il s'assume en tant qu'étudiant et en tant qu'étudiant provisoire : travailler à sa propre disparition en tant qu'étudiant, ce serait alors travailler à la disparition du professeur comme professeur en s'emparant de ce par quoi il est professeur, aidé en cela par le professeur qui se donnerait pour tâche de préparer sa propre disparition en tant que professeur. C'est assez montrer que la mystification par excellence consiste à se nier magiquement en tant qu'étudiant en niant le professeur comme professeur par l'utopie de la participation à la création de la culture, c'est-à-dire en croyant s'abolir en tant qu'étudiant quand on ne fait que se refuser à être étudiant sans s'imposer la patience et le travail de la négation". Pierre Bourdieu, 1/We, Dead, 2/Août, 3/In Heaven; 4/L'Amateurisme Retrouvé, 5/Hair, Deerhoof, Flowers, 6/Les Héritiers, 7/Menthohol, 8/Yes, We Can, white light, baby genius, white light, baby genius, white light, baby genius, white light, baby genius, white light, 30 janvier 2009, baby genius, white light, baby genius, 30 janvier 2009, white light, baby genius.
http://www.myspace.com/postloferr Que ce soit en demandant à l'auditeur d'imaginer les instruments qui accompagnent sa noise a cappella chuchotée-vomie d'influence pop, ou en faisant des petites compositions minimalistes avec chuchotements et basse ténébreuse, la musique de Baby Genius est surprenante mais jamais sectaire, foutraque mais toujours plus cool que tout.
Au détour d'expérimentations de qualité, Dave Chilton met du coeur dans le monde souvent sans âme de la noise avec, en complément des activités de groupes (Rrrrrright, The Happy New Year Orchestra), avec un premier e.p. à la fois électrique et électronique très beau, un génial album bilan d'un an et demi de divagations electroniques et ambiant de l'artiste, et un e.p. plus acoustique, formidables prémisses à d'autres perspectives musicales. Son dernier album, "The Transfiguration Of Lawrence Of Arabia", sonne comme l'aboutissement absolu d'une recherche musicale entre la free-folk et le bruit blanc pour créer d'immenses espaces de vibrations discordantes.
(M.L.E. + Baby Genius + Dave Chilton + Jarvis Glasses) Nous ne savons pas ce que vous avez fait pour passer de 2007 à 2008 mais c'était surement moins bien que ce que les quatres membres (déjà connus pour certains!) du super-groupe The Happy New Year Orchestra ont fait : un e.p. improvisé, bordelique, qui sonne comme une sorte de A Silver Mt. Zion noisy et drole, enregistré dans la nuit du 31 au 1er. Si vous avez déjà oublié votre réveillon, écoutez le leur.
http://www.myspace.com/indiosingracia Venu d'Espagne, Indiosingracia propose une folk bricolo joyeuse et remplie de couleurs vives derrière des enregistrements lo-fi qu'on croirait sortis de chez Daniel Johnston. Avec des arpèges à la Nick Drake, des petits pipeaux délicats et quelques voix légères, Indiosingracia fait de ses morceaux de veritables miniatures passionnantes à écouter et à réécouter, qui peuvent parfois emmener l'auditeur très loin, rien qu'avec une guitare.
http://www.myspace.com/jarvisglasses Conciliant une certaine radicalité lo-fi et une volonté certaine de faire de la pop, la musique de Jarvis Glasses, oeuvre d'un seul homme, est un vrai plaisir foutraque et alternatif comme il en manque sur cette terre et qui ne laissera personne indifférent.
http://www.myspace.com/leaids Faire de la pop music et faire chanter les gens pour les rendre heureux, voici le graal qu'essaye d'atteindre, album après e.p. le aids, homme seul avec un mac, une guitare et des accords majeurs.
http://www.myspace.com/lofilol Alors que le monde entier se demande qui se cache derrière ce duo mysterieux, Lofilol vient de sortir son second album ("Rhubarbe"), qui, comme "Yeah", est aussi bordelique que le white album, qui mêle avec folie et talent la pop, le rock, l'electro, la country, la chanson de noel, la noise, l'experiemental dans une esthétique lo-fi du meilleur gout, et à grand coup de synthétiseurs yamaha cheap.
(Le Aids + Sunj) Projet improvisé de noise au départ, One!-Two!-Three!-Four! fait surtout n'importe quoi, et rend hommage autant aux boredoms qu'a juntaro yamanouchi ou electrelane, avec un coté world music tout à fait... étrange.
Sorti trop discretement sur pimpon entertainment, le premier album de pimpon, "pimpon", est un album de noise. un veritable album de noise. 27 minutes. pimpon aime aphex twin, autechre, merzbow, hecker et zbigniew karkowski. pimpon for the futur. un veritable album de pop. un album de noise. pimpon pimpon pimpon. L(WWIA?) est très heureux de réediter le premier album furturiste de pimpon. pimpon.
(Jarvis Glasses + Dave Chilton) Groupe de noisepopcore improvisé, Rrrrrright est un vibrant hommage à la musique du groupe Deerhoof, à grand coup de larsens crépusculaires, des bruits improbables et de bazar sonique réjouissant.
Disciple de John Fahey et progéniture cachée de la pop de Jim O'Rourke, SunJ offre des compositions lumineuses et hétéroclites qui viennent s'inscrire dans un spectre musical aussi varié que réjouissant : de la free-folk d'une Amerique mythologique à la bossa-nova des Caraïbes, tout en passant par un psychédélisme pop anglo-saxon, il se dessine une musique brillante, survoltée et attachante, sans jamais perdre de vue deux mots clés : le groove et le cool.
Aux ames bien nés, la valeur n'attend point le nombre des années, n'est ce pas? Thomas, qui n'a que 3/20ème de siècle, est de ces gens la et vient, entre ses dessins barrés et ses photographies splendides, enfin de sortir son premier e.p./album, le lumineux "Colours", remplis de courtes pieces instrumentales d'electropop, allant parfois jusqu'a l'ambiant et l'experimental - le tout avec un talent fou.
Si l'on cherchait à mettre un nom devant le mot radicalité, celui de Wonder Wombat serait totalement adéquat. En un e.p. dadaiste à souhait (et sans tracklist!) qui dure moins de 2 minutes et un e.p. de musique classique au kazoo, l'homme derrière ce pseudonyme à déjà tout dit tandis que vous restez pantois à vous demandez "mais que viens-je d'entendre?". Indispensable!
LABEL (WHAT WAS IT ANYWAY?)
Label (What Was It Anyway?) est un label imaginaire crée le 18 décembre 2007 par Le Aids et Jarvis Glasses, et qui n'a aucun but à part celui de réunir des artistes qui font de la musique et qui la donne. N'importe qui peut prendre part au label et être dans notre liste d'artiste, il suffit de nous le demander, nous répondrons peut être oui. Nous avons pour l'instant 12 artistes signés et 20 albums/e.p. dans notre catalogue.
Label (What Was It Anyway?) is an imaginary label created on december 18 2007 by Le Aids and Jarvis Glasses. We are a team of artists who make music and give it for free. Anybody can be a member of this label, even you, just ask us, and we'll say "yes" maybe. Right now, we have 12 artists who signed with us and our catalogue has already 20 records. WE ARE NOISE FOUTRAQUE FROM EUROPE.